Clitoraid soutient la campagne 'One Billion Rising' pour en finir avec les violences faites aux femmes
février 13 2013, Categorie: Communiqués de presse
Las Vegas, le 12 février – Ce 14 février, Clitoraid, organisation à but non-lucratif soutenant les victimes de mutilations génitales féminines, se joint au mouvement V-Day créé par Eve Ensler et lance un appel international pour en finir avec les violences faites aux femmes.
" Aujourd’hui, une femme sur trois – soit un milliard de femmes à travers le monde – sera violée ou battue durant sa vie, et toutes les 6 minutes, une petite fille est excisée. C’est une atrocité !" déclare Nadine Gary, directrice de la communication de Clitoraid. “C'est pourquoi, pour le quinzième anniversaire du V-Day célébré le 14 février, les personnes soutenant la cause de Clitoraid dans le monde entier se joindront à ce millard de femmes, ainsi qu'à tous ceux qui les aiment, en marchant, en dansant et surtout en s’élevant et en demandant d’en finir avec cette violence.”
“Dans sa démarche fondamentale de lutte contre la violence faîtes aux femmes, Clitoraid a toujours supporté l'oeuvre d’Eve Ensler", explique Nadine Gary. “Nous l’applaudissons pour le travail qu’elle accomplit comme celui d'avoir ouvert des maisons au Kenya pour accueillir les jeunes filles qui ont dû fuir leur domicile pour échapper à l'excision.”
Nadine Gary précise que la participation de Clitoraid à One Billion Rising inclut notamment :
- Deux opérations chirurgicales visant à restorer le clitoris de victimes de l'excision. Les opérations seront menées par la chirurgienne en chef de Clitoraid, le Dr. Marci Bowers, dans sa clinique à San Francisco, en Californie (USA) ;
- Un événement spécial autour de la danse organisé à l’"Hôpital du Plaisir" de Clitoraid, au Burkina Faso, en Afrique de l'ouest. Cet établissement médical est construit exclusivement pour les victimes de l’excision et ouvrira ses portes en octobre prochain ;
- La sensibilisation du public pour la cause de Clitoraid via l'organisation d'évènements spéciaux.
“Nous participerons aux activités de danse du V-Day aux États-Unis, au Canada, en Europe dont en France, en Suisse et en Italie, en Australie, en Amérique du Sud et en Asie du sud-est où un nombre croissant de victimes de l'excision a été recensé ces dernières années, particulièrement en Indonésie ", conclut Nadine Gary.
" Aujourd’hui, une femme sur trois – soit un milliard de femmes à travers le monde – sera violée ou battue durant sa vie, et toutes les 6 minutes, une petite fille est excisée. C’est une atrocité !" déclare Nadine Gary, directrice de la communication de Clitoraid. “C'est pourquoi, pour le quinzième anniversaire du V-Day célébré le 14 février, les personnes soutenant la cause de Clitoraid dans le monde entier se joindront à ce millard de femmes, ainsi qu'à tous ceux qui les aiment, en marchant, en dansant et surtout en s’élevant et en demandant d’en finir avec cette violence.”
“Dans sa démarche fondamentale de lutte contre la violence faîtes aux femmes, Clitoraid a toujours supporté l'oeuvre d’Eve Ensler", explique Nadine Gary. “Nous l’applaudissons pour le travail qu’elle accomplit comme celui d'avoir ouvert des maisons au Kenya pour accueillir les jeunes filles qui ont dû fuir leur domicile pour échapper à l'excision.”
Nadine Gary précise que la participation de Clitoraid à One Billion Rising inclut notamment :
- Deux opérations chirurgicales visant à restorer le clitoris de victimes de l'excision. Les opérations seront menées par la chirurgienne en chef de Clitoraid, le Dr. Marci Bowers, dans sa clinique à San Francisco, en Californie (USA) ;
- Un événement spécial autour de la danse organisé à l’"Hôpital du Plaisir" de Clitoraid, au Burkina Faso, en Afrique de l'ouest. Cet établissement médical est construit exclusivement pour les victimes de l’excision et ouvrira ses portes en octobre prochain ;
- La sensibilisation du public pour la cause de Clitoraid via l'organisation d'évènements spéciaux.
“Nous participerons aux activités de danse du V-Day aux États-Unis, au Canada, en Europe dont en France, en Suisse et en Italie, en Australie, en Amérique du Sud et en Asie du sud-est où un nombre croissant de victimes de l'excision a été recensé ces dernières années, particulièrement en Indonésie ", conclut Nadine Gary.