Le Clitoris à Trois Sauces

juin 19 2011, Categorie: Actualités internationales
Sujet, sérieux s’il en est que l’on peu aborder par 3 voies, 3 chapitres : la poétique-amoureuse. La dramatique pratiquée en Afrique. La physiologique scientifique.

Et comme ça pour votre gouverne, histoire de mettre les choses en perspective : trois médecins du 19ème siècle préconisaient cela : la clitoridectomie (donc ablation du clitoris) préconisée par des médecins comme Thésée Pouillet (1849-1923), Pierre Garnier (1819–1901) ou Paul Broca (1824-1880) pour lutter contre l'onanisme; ouais, en clair la branlette, la masturbation qui rend sourd ! Alors, si nous pouvons aujourd’hui nous targuer d’être une civilisation pensante et empathique, il n’empêche qu’il n’y a pas si longtemps nous aussi avions à gérer des «médecins» un peu dingues.

La poétique-amoureuse

Faut dire que question plaisir pur, il se pose là le clicli de ces Dames ! Un raccordement nerveux à haut voltage, pas étonnant que lorsque tu sais en jouer, Madame en demande et redemande à plus soif. C’est un truc génial, car simplement et seulement construit pour le plaisir pur, rien d’autre. Quant à moi je ne lui connais aucune autre utilité que de faire monter ces dames aux rideaux. Donc, jeunes Messieurs au lieu d’aller prendre des cuites à la Kronenbourg, vous feriez mieux de vous inscrire à un cours accéléré de comment manipuler la chose qu’est pas plus gros qu’un bouton de rose…

Nos aïeux au 18 ème siècle savaient gouteusement en causer. Lisez ce que voici:

Combien j'ai douce souvenance
De nos amours, ô ma Clémence,
Ces jours à jamais effacés, j'y pense,
Où sont nos coïts insensés passés !

Te souvint-il, lorsque ma pine,
Luxurieuse et libertine,
Entre tes lèvres se glissant, coquine,
Tu me suçais en rougissant, souvent ?

Dis-moi, te souvient-il encore
De ces caresses que j'adore:
Ma langue avide en frémissant
Dévore ton clitoris rose et dardant
Son gland...


Patin de la Fizelière


Ah! Ton clitoris rose et dardant, c’est beau non ? Ca interpelle l’usine à fantasme; ce n’est pas comme dans « partouze à 500 » le dernier film intimiste érotique de Jacques Pénis où on a l’impression d’être dans le métro aux heures de pointe si j’ose dire. Et en plus il s’appelle Patin… La classe quoi!